Joséphine entre dans le centre commercial, en espérant de tout cœur que sa nouvelle tenue se trouve à l’Emporium du cuir. Alors qu’elle continue de marcher, elle remarque un groupe d’hommes et de femmes qui regardent dans sa direction. Sachant qu’ils regardent son corps sexy avec sa poitrine de 105D et une silhouette qui ferait fondre le soleil, elle se penche de façon très provocante, soulève sa jupe jusqu’à sa cuisse et attache son bas au porte-jarretelles. En entendant les huées et les braillements, elle sait qu’elle a fait passer son message.
Elle se lève lentement, fait un petit clin d’œil et envoie un baiser au groupe. Elle continue, elle entend encore les gars qui lui crient d’en redemander, puis elle entend les femmes qui leur crient d’arrêter. La bonne action de Joséphine est terminée pour aujourd’hui.
Alors qu’elle poursuit son chemin, elle croise une femme d’une beauté saisissante. Elle a de longs cheveux auburn, des yeux verts et des lèvres qui demandent à être embrassées. Sa poitrine généreuse et sa silhouette élancée la font ressortir comme une déesse parmi les gens du peuple. La robe bustier rouge qu’elle portait accentuait parfaitement toutes ses courbes.
“Je suis vraiment désolée” s’exclame Joséphine. “Tu vas bien ?”
La femme mystérieuse répond : “Oui et je suis désolée. J’aurais dû regarder où j’allais.” Sa voix sonnait comme un orage à distance, faisant un peu fléchir mes genoux. “Je m’appelle Josephine.” Elle s’exclame sans réfléchir.
“Bonjour, je m’appelle Aurélie.” Elle tend la main à Joséphine. Celle-ci prend la main et fond presque à son contact.
“Je sais que c’est un peu précipité mais j’ai des courses à faire et je me demandais si tu aimerais venir avec moi.” Faisant une pause, elle poursuit : “Nous pourrions aller déjeuner après avoir fait les courses.” Aurélie est presque instantanément d’accord en disant “Ce serait vraiment bien”.
Les deux femmes sensuelles commencent à marcher et même si elles viennent de se rencontrer il y a 10 minutes, elles parlent comme si elles étaient amies depuis des années. Elles se moquent l’une de l’autre en entrant et en sortant des magasins. Aurélie demande : “Est-ce que je peux te tenir la main ?” Le cœur de Joséphine a sauté un battement. “Cela me ferait immensément plaisir”, dit-elle au même moment où Aurélie prend sa main et entrelace leurs doigts.
Elles arrivent enfin au magasin de cuir et Joséphine dit à Aurélie “J’ai quelque chose à récupérer ici. Ça te dérange ?”
“Pas du tout” dit Aurélie, “J’aimerais quand même jeter un coup d’œil”.
Joséphine se dirige vers le vendeur, qui s’appelle Samir, et lui dit son nom et ce qu’elle a à récupérer. “Tu devras l’essayer car nous avons une politique de non-retour. Si ça ne te va pas, nous devrons commander une autre taille.” Elle accepte et emmène le paquet dans le vestiaire. Elle se heurte alors à nouveau à Aurélie et elles se mettent toutes les deux à rire. “Il faut vraiment qu’on arrête de se rencontrer comme ça” dit Aurélie en riant. Puis elle remarque le paquet. “Qu’est-ce qu’il y a là-dedans ?”
Joséphine se met à glousser. “Ma tenue”, dit-elle très innocemment. Aurélie soulève le couvercle du paquet et voit une tenue en cuir et en laiton. Aurélie regarde dans les yeux de Joséphine et demande “Tu vas l’essayer ?”.
“Oui, je dois le faire”. Joséphine dit en ouvrant la porte de la pièce. Aurélie l’arrête en posant sa main sur le ventre de Joséphine et lui demande “Ça te dérange si je te vois dedans…”.
Joséphine hésite, puis répond timidement “Bien sûr. Laisse-moi juste une minute pour l’enfiler.” Se sentant nerveuse, elle se précipite dans le vestiaire en claquant la porte derrière elle.
Une fois à l’intérieur, elle commence à se déshabiller. Ne pensant qu’à cette femme, qu’elle n’a rencontrée qu’une heure auparavant, est sur le point de la voir dans cette tenue. Cette pensée l’excite, et elle s’habille rapidement.
Quand elle a terminé, elle s’arrête et se regarde dans le miroir. Elle n’arrive pas à croire que l’image dans le miroir est la sienne. Le collier en cuir est attaché au haut du tube en cuir avec seulement 6 chaînes en laiton. Il y a environ 20 chaînes plus petites qui pendent au bas du haut. Joséphine adore la sensation du métal froid sur sa peau nue. Elle admire ensuite son cul dans le short en cuir, qui est relié à ses bottes en cuir à hauteur de cuisse avec 2 chaînes sur chaque jambe. La coupe serrée de la tenue accentue si bien ses seins et son cul. Elle est excitée par cette femme charmante et dominante qui la regarde fixement.
On frappe à la porte. “Tu as déjà fini là-dedans ?” Aurélie demande, semblant aussi excitée que Joséphine l’était. “Umm ouais. Entre.” Répond une Joséphine très nerveuse. La porte s’ouvre et devant elle se tient une déesse en cuir. Aurélie porte maintenant une mini-jupe en cuir noir avec une fermeture éclair sur le côté droit, et un haut en cuir qui s’attache autour de son cou. Son ventre est également exposé, montrant son anneau de nombril. Les bottes mi-mollets en cuir noir accentuent magnifiquement la tenue.
Aurélie dévisage Joséphine. Incapable de croire que cette femme qui, quelques minutes auparavant, avait l’air de travailler dans un bureau d’avocats, ressemble maintenant à une maîtresse de donjon. Aurélie se sent devenir humide.
Tirant Joséphine hors de la cabine, Aurélie les accompagne jusqu’au miroir tridimensionnel. En se regardant dans le miroir, elles s’enlacent. Aurélie, tournant Joséphine vers elle, s’exclame : “Tu es une très belle femme”. Avant que Joséphine puisse la remercier, Aurélie se penche vers elle et lui donne un léger baiser sur les lèvres. Joséphine répond en l’embrassant en retour et en enroulant ses bras autour de son cou, jouant avec ses cheveux.
Elles continuent à s’embrasser, et à chaque minute qui passe, leur passion augmente. Joséphine commence à caresser la poitrine d’Aurélie à travers le haut en cuir, en frottant son pouce sur les mamelons juste un peu plus fort que le reste. Aurélie gémit dans la bouche avide de Josephine et place une main sur l’entrejambe de Josephine. Elle masse le clito avec l’urgence de la libération. C’est maintenant Joséphine qui gémit.