Yann et Louise adorent jouer à des jeux sexy. L’un de leurs préférés est de sortir en public et pour Louise de flasher des inconnus.
Louise a un corps magnifique. Elle est très en forme et a de superbes jambes, un joli cul et de magnifiques seins. Son visage est joli et féminin et ne cache pas le fait qu’elle a une trentaine d’années. Elle peut facilement passer pour beaucoup plus jeune et c’est aussi parfois la source d’une partie de leur excitation sexuelle car elle taquine les hommes plus âgés.
Leur terrain de jeu préféré pour ces séances de flashage est le parc local. Il possède une grande zone boisée entourant un lac. Les bois sont sillonnés de sentiers dont certains sont assez isolés. Lors d’une récente sortie, Louise portait un long manteau avec juste des sous-vêtements en dessous. Elle portait un soutien-gorge noir en dentelle qui mettait ses seins encore plus en valeur. Elle portait un string noir en dentelle et un porte-jarretelles assorti qui retenait ses bas noirs très transparents. Elle a terminé sa tenue avec des bottes noires jusqu’au genou.
Yann s’est caché à proximité tandis que Louise attendait au bord du chemin, dos à un arbre. Seules deux personnes sont passées en l’espace d’une heure. L’une était un joggeur et l’autre une femme qui promenait son chien. Louise a montré ses hauts de bas aux deux mais ils n’ont pas répondu. Ils lui ont juste lancé des regards réprobateurs. Puis elle a repéré sa cible. C’était un homme plus âgé que Yann et Louise avaient déjà vu lors de sorties précédentes. Louise lui avait déjà montré ses sous-vêtements et il avait réagi en serrant ce qui semblait être une assez grosse bite dans son pantalon. Ce soir, Louise avait l’intention d’aller beaucoup plus loin.
Comme il s’approchait, Louise l’a interpellé. ‘J’espérais te voir ici ce soir’, a-t-il dit en arrivant.
Pourquoi donc,” a répondu Louise, “Tu vas me montrer ta belle queue ?
‘Je pourrais. Si tu fais en sorte que ça en vaille la peine,’ a-t-il rétorqué.
‘Qu’est-ce que tu veux dire par là ?
‘Ouvre ton manteau et je te montrerai’.
Sur ce, Louise a laissé tomber la moitié inférieure de son manteau pour dévoiler sa superbe jambe chaussée de bas, jusqu’aux quelques centimètres de chair au sommet de ses cuisses.
Très joli” a commenté l’homme.
Dis-moi quand tu bandes,’ dit Louise à bout de souffle. ‘Plus tu me le diras, plus je te montrerai’.
Je commence à bander, d’accord.
‘Viens plus près. Assure-toi que tu peux me voir. Je vais tout te montrer. Je veux que tu me dises ce que tu penses de moi. Si tu sors ta bite et que tu joues avec, je me doigterai pour toi.’
Louise était tout à fait essoufflée. L’excitation montait et sa chatte devenait très humide maintenant.
‘Quel âge as-tu au fait ? L’homme a demandé.
‘Quel âge penses-tu que j’ai?’.
‘Eh bien, vous les jeunes filles de nos jours, c’est difficile à dire. Tu pourrais avoir n’importe quoi entre 16 et 30 ans.’
‘Et si je te disais que j’avais 15 ans. Est-ce que ça te ferait bander ?
‘Je bande déjà’.
‘Eh bien montre-le moi alors. Je veux voir ta putain de trique. Sors-la et branle-la pour moi. Sur ce, Louise a ouvert son manteau jusqu’en haut et l’a retiré de ses épaules. Il est tombé jusqu’à ses coudes, révélant son corps fantastique. Elle a poussé ses hanches en avant et a poussé sa chatte vers son public. ‘Me voici. Regarde-moi et branle-toi comme tu le fais quand tu regardes ces putains de clochardes dans tes magazines cochons.
‘Tu es une putain de traînée qui vient ici comme ça…’
‘C’est toi qui vas jouir. Pas moi, elle a gloussé.
‘Seulement si tu me fais jouir, petite salope. Montre-moi tes seins. L’homme avait maintenant ouvert son pantalon et repêché sa très grosse bite gonflée. Son poing était serré autour et il se branlait fort. Il respirait par petits coups tandis qu’il donnait ses instructions à Louise.
Elle a répondu en ouvrant son soutien-gorge et en laissant ses magnifiques seins se libérer. Elle les a pris dans ses mains et a titillé ses tétons, qui étaient déjà durs.
Tu veux me baiser, n’est-ce pas ? Tu veux baiser cette petite pucelle de 17 ans, espèce de sale pervers. Et bien je suis assez mouillée pour que tu le fasses. Ma chatte est vraiment humide.
Avec cela, Louise s’est retournée et a laissé son manteau tomber sur le sol, elle s’est penchée et s’est tenue à l’arbre. Son joli cul pointait vers l’homme.
Tu aimes mes fesses ?, lui a-t-elle demandé. Je pense qu’il est beau. Une fois, quelqu’un m’a dit qu’il voulait baiser mes fesses. Je ne savais pas que tu pouvais faire ça. Peux-tu imaginer baiser mes fesses. Mettre ta belle bite dans mon trou de cul serré et me baiser très fort ? Est-ce que tu ferais gicler ton truc dans mon cul ? Ce serait vraiment bizarre. Ou tu pourrais baiser ma petite chatte et prendre ma virginité. Aimerais-tu faire ça ? Aimerais-tu que ta putain de grosse bite soit la première à entrer dans ma petite chatte chaude ?
L’homme pouvait à peine parler. Ses yeux étaient fixés sur le cul de Louise qui se balançait d’un côté à l’autre. Sa main était un flou sur sa bite.
Louise a ensuite poussé ses doigts à l’intérieur de sa culotte. Il pouvait clairement voir ses doigts bouger à l’intérieur du gousset. Oh putain, je suis tellement humide. J’enfonce mes doigts dans ma chatte et ils y glissent si facilement. Ta queue y glisserait sans problème. Regarde !
Avec cela, elle s’est retournée et a fait glisser la culotte le long de ses cuisses pour révéler son buisson poilu. L’homme pouvait voir son jus scintiller dans les poils et pendant qu’il regardait, Louise a déplacé ses doigts dans les poils et les a fait descendre entre ses jambes. Elle a laissé échapper un doux gémissement lorsque deux doigts ont glissé en elle. Elle s’est appuyée sur l’arbre et a légèrement plié ses genoux pour écarter ses cuisses. Louise se branlait maintenant sérieusement devant cet étranger. Elle a continué son commentaire de paroles ordurières tout en fixant son érection massive.
Pompe ta putain de bite, espèce de bâtard pervers. Je sais ce que tu penses. Tu veux me baiser. Tu veux me prendre contre cet arbre, putain. Et bien je pourrais même te laisser faire. Un jour, c’est ça, mais pas ce soir. Je veux te voir tirer sur ton truc. Je veux voir combien tu peux produire. Si je dois te laisser me baiser, je dois savoir que tu peux faire gicler beaucoup de sperme. Je veux que ça coule de ma petite chatte après que tu aies pris ma virginité.
L’homme gémissait à voix haute maintenant. Craignant qu’il ne jouisse bientôt Louise s’est enfoncée pour s’accroupir contre l’arbre. Viens par ici” a-t-elle ordonné. Je veux que tu jouisses sur moi. Du sperme partout sur moi. Du sperme sur mon visage, mes seins et partout.
L’homme s’est maintenant avancé en traînant les pieds. Il était évident qu’il ne pouvait pas tenir plus longtemps et il s’est déplacé pour pointer sa bite à quelques centimètres devant le joli visage de Louise. Louise se masturbait maintenant frénétiquement. Ses seins remuaient et Yann pouvait entendre le bruit de ses doigts qui pompaient sa chatte, même depuis sa cachette à quelques mètres de là.
À ce moment-là, l’homme a grogné et a pointé sa queue en plein sur la bouche de Louise. La première giclée de sperme a touché sa joue. La suivante a atteint sa bouche et le reste est tombé sur son menton et ses seins. Louise a aussi joui et est tombée en avant pour placer sa bouche sur la bite flétrie. Elle en a aspiré le sperme restant puis s’est levée et a embrassé l’homme plus âgé sur la joue. À la semaine prochaine alors, Malc, et ils ont tous les deux rigolé.
Yann est alors sorti de sa cachette, la bite à la main et se branlant furieusement. Comme il s’approchait, Louise s’est agenouillée pour prendre sa queue raide entre ses lèvres. Yann était déjà très près de jouir et ce n’était qu’une question de quelques coups de tête de Louise avant qu’il ne gicle dans sa bouche.
Quand Yann a fini de jouir, Louise s’est levée et ils se sont embrassés pour échanger son sperme. Lorsqu’ils se sont séparés, Yann a penché sa tête vers les seins de Louise pour lécher le reste du sperme de Malc qui s’y trouvait.
Quelques minutes plus tard, les trois étaient sur le chemin du retour à travers le parc. Louise avait remis sa culotte mais son soutien-gorge était dans la poche de son manteau. Malc a dû les quitter pour aller à une autre sortie et pendant que Yann et Louise retournaient à leur voiture, Louise a eu une pensée très coquine.
L’équipe de rugby locale avait une soirée d’entraînement sur le terrain du parc. Louise a suggéré qu’ils passent par là et qu’ils flashent sur les joueurs pour les décourager.
Louise était très excitée à l’idée d’exciter tous ces hommes charmants. Elle n’avait jamais été consciente d’être à l’origine de deux érections en même temps, alors l’idée d’en provoquer dix, ou une douzaine ou plus, lui a donné un frisson familier dans la chatte.
Louise et Yann sont restés sur les lignes de côté pendant quelques minutes à regarder les joueurs courir d’avant en arrière pour effectuer une sorte d’entraînement. Il y avait quelques autres personnes sur les lignes de touche, dont une grande brune à l’allure frappante. Elle avait un sifflet et criait des instructions, c’était donc manifestement une sorte d’entraîneur.
Alors que l’équipe arrivait à sa fin, Louise a laissé son manteau s’ouvrir. La vue de ses seins et de ses bas a attiré les cris de l’équipe et un coup de sifflet de l’entraîneur. Cela s’est reproduit plusieurs fois, puis l’entraîneur s’est dirigé vers l’endroit où se tenaient Yann et Louise : “Mais à quoi vous jouez ?
‘On s’amuse juste un peu, a expliqué Yann.
Eh bien, va te faire foutre et va t’amuser ailleurs, rétorque-t-elle.
Tu as peur que je les excite plus que tu ne le fais.
‘Tu ne saurais pas quoi faire avec une bande de garçons excités…’.
Je le saurais mieux que toi, espèce de gouine, a répondu Louise. Une seconde plus tard, la brune avait fait tomber Louise au sol et essayait de s’asseoir sur elle. Louise l’a repoussée avec l’aide de Yann. Mais maintenant, ils étaient entourés par les joueurs.
L’entraîneur a crié quelque chose comme “Attrapez-les” et les joueurs ont rapidement attrapé Louise et Yann et ont commencé à les porter vers le club house. Louise a été portée par environ quatre hommes et ils lui ont tous tripoté les seins, la chatte et les fesses pendant qu’ils la portaient. Les deux ont été déposés sur le sol dans la zone des douches.
Elles se relèvent toutes les deux et regardent frénétiquement autour d’elles. Il n’y a nulle part où s’enfuir. La seule sortie est de retourner dans le vestiaire, et elle est bloquée par la grande foule de rugbymen. Louise a perdu son manteau et se tient maintenant devant la foule avec seulement ses chaussures, ses bas, ses jarretelles et sa culotte. Elle est très enflammée par un mélange d’excitation et de rage. Jusqu’où peuvent-ils aller avec ça ? Ils n’oseraient sûrement pas la violer, pas avec Yann comme témoin.
Juste à ce moment-là, l’entraîneur pousse son chemin vers l’avant. Elle est clairement très en colère.
Tu n’es qu’une petite traînée. Tu as gâché notre séance d’entraînement.
Ni Louise ni Yann ne répondent.
Je vais m’assurer que tu seras bien punie pour ça. Quand nous aurons terminé, tu ne seras pas pressée de montrer tes putains de seins à nouveau.
Tu es juste jalouse, espèce de gouine à la poitrine plate”, affirme courageusement Louise. Cela attire quelques rires de la part des rugbymen. Encouragée par cela, Louise continue : “Regarde-toi. Pas de seins, pas de cul, la seule chose qui pourrait t’exciter est un gode. Et je parie que tu le fais, tous les soirs…”.
L’entraîneur se jette sur Louise. Elle la pousse contre le mur. Louise se défend mais l’entraîneur est beaucoup plus fort et la presse bientôt contre le carrelage froid, les bras en l’air et les poignets contre le mur. Le visage de l’entraîneur se trouve à quelques centimètres devant celui de Louise. Louise peut sentir son souffle chaud sur sa joue ‘Je vais te regarder te faire baiser par toutes les bites de cette pièce et ensuite je vais te faire me lécher. Qu’est-ce que tu en penses ?
À la surprise de l’entraîneur, Louise répond en embrassant la femme. Sa langue glisse au-delà de ses lèvres et explore sa bouche. Son bout effleure ses dents, cherchant la langue chaude de la femme en retour…